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Cahier n° 154 - Juin 2019 Prix 15 euros

Michel Perpète - Editorial
Guy Lépine - Marie-Louise Dromart, infirmière héroïque et poétesse de renom
Grégory Kaczmarek - André Morel ; la passion de la chasse, des chiens et des chevaux
Jean-François Delarue - Les cartes postales vous racontent Hargnies
Michel Perpète et André Danis - Les bourgeois d'Hargnies en 1548
Jean-François Pinard - Titulature d'églises : de Saint Remacle à Saint Remy
Jean-Pierre Dumont - Li plake de marbe
Guy Lépine - Haybes 1898 : danger mortel à l'ardoisière de l'espérance.
Guy Lépine - La halle de Haybes
Jeannine Papier - Les fêtes saisonnières à Fépin
Notes et Archives
Ce numéro 154 de la revue « Ardenne wallonne » est consacré presque entièrement à Haybes et à Hargnies.
L'article de Guy Lépine sur Marie-Louise Dromart, cette infirmière héroïque de la guerre de 1914-1918, présente sa biographie, elle dont l'action à Haybes durant cette guerre, et spécialement durant la toute première partie, - invasion qui massacra tant de personnes dans la commune – en fit une infirmière extrêmement active, établissant une infirmerie dans un bâtiment de la ville, en accord avec l'occupant, comment elle devint ensuite marraine de guerre et, la guerre terminée, sera citée à l'Ordre de la Nation. Elle fut également une poétesse récompensée par l'Académie française, et membre de la Société des Gens de Lettres de France : ses œuvres, toutes de poésie, sont présentées dans cet article, mais également sa seule œuvre en prose, « Sur le chemin du Calvaire », souvenir tragique des journées des 24 au 26 août 1914. Cette biographie rappelle aussique son nom fut donné, au cours de l'année dernière, au groupe scolaire de Haybes.
L'histoire d' Hargnies se découvre à travers toutes les cartes postales assemblées et commentées par Jean-François Delarue, présentant l' histoire de plus de 150 années de la vie communale, et spécialement à travers l'exposition réalisée il y a six ans par l' Association du Patrimoine d'Hargnies. Et il est vrai qu'en découvrant cette bonne vingtaine de pages de notre revue il eut « été dommage, ainsi que l'écrit notre rédacteur, de ne pas partager ces quelques morceaux choisis ».
Beaucoup de photos également dans l'article de Grégory Kaczmarek sur la passion d' « André Morel : passion de la chasse, des chiens et des chevaux ». Industriel revinois, il est l'un des grands veneurs ardennais (qui possédera en particulier « La Vénerie » de Signy l'Abbaye), nommé en 1904 lieutenant de louveterie. Même si les événements du début du XX° siècle l'amèneront à se retirer quelque temps en Angleterre, il reprendra en France ses activités industrielles après la première guerre mondiale. Mais la lecture de cet article fera surtout découvrir comment vivre la chasse à courre avec ses meutes et lieux de chasse, expositions canines ou concours hippiques...
Cahier n° 155 - Décembre 2019 Prix 15 euros

Des « toyeux » aux « braguettes » Michel Perpète
A la découverte du moulin Limbourg Louis Dupont
Dans le cimetière de Givet SH, la tombe d’Harembert Marc Belvaux
Yvan Laffineur, de l’ardoise au ring Michel Henrot
Saint Maurice, d’Aubrives à Celles Jean-François Pinard
Confréries et corporations Jean-François Pinard
Sur les traces des scailteux à Fumay, Haybes et Oignies Guy Lépine
Lè scayeteû ou le mineur d’ardoise Gérard Baudrez
La seigneurie de Hierges aux XIVe et XVIe siècles à travers les archives d'André Majewski Jérémy Morvan
Plan du site du moilin Limbourg
Haybes, un lieu: la roche de Madame de Cormont Guy Lépine
Aux rives de l'aube: une enfance à Aubrives Guy Stroppa
La seigneurie de Hièrges à Gimnée Joseph Henquin
Haybes 1936: les chenilles attaquent Guy Lépine
Notes et archives
Tables 2018-2019
Voici en cette fin d’année le numéro 155 de notre revue, dont la majeure partie des thèmes abordés couvrent les deux versants de notre région, belge et française. Qu’il s’agisse des « scailteux » ( ou « escailleurs ») dont le travail s’exerce à Fumay et à Haybes, mais aussi à Oignies, partout où l’ardoise est présente ; qu’il s’agisse de la seigneurie de Hierges qui dépasse Gimnée, Niverlée, Doische et Olloy ; des lieux frontières que sont la Dame de Cormont ou le moulin Limbourg ; ou qu’il s’agisse de la vénération de saint Maurice à Aubrives ou de ses reliques à Celles, près de Dinant…
La Wallonie se découvre de chaque côté de la frontière, comme le souligne Michel Perpète dans son édito dont le titre est bien comprisde part et d’autre de cette ligne imaginaire : des « toyeux » aux « braguettes »…
Mais on découvrira aussi le très bel article de Guy Stroppa, sur son enfance à Aubrives et la vie de son village natal, décrivant les années d’avant ladernière guerre, « les bonnes petites histoires et les braves gens d’autrefois ».
Comme également on prendra connaissance de quelques-uns de ceux qui ont marqué la Wallonie ardennaise, le colonel baron d’Harembert à l’époque du premier empire, l’ardoisier fumacien Yvan Laffineur dans le domaine sportif des années 30…
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